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 souffrances inutile

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Laélia

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MessageSujet: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyMer 18 Nov - 16:10

voilà la première nouvelle que j'ai écris, y'a mieux mais bon en une heure faut pas me demander plus :p

au fait je suis pas très bonne en orthographe alors je m'excuse d'avance pour les fautes.

Le contexte de l'histoire est spécial car c'était pour un petit concours sur face book l'intrigue devait ce dérouler au lac Léman, finalement je ne l'ai pas poster, sur face book mais sur un forum d'écrivain ( trop peur des critiques sur le coup)


Souffrance inutile


Allait-il venir ce soir ? Depuis la fenêtre de mon chalet, j’observais le Lac Léman, comme chaque soir, j’allais descendre sur la plage le rejoindre. Je savais que j’étais indiscrète, qu’il préfèrerait rester seul, mais après tout, cela ne lui faisait aucun mal. Chaque jours à la même heure, depuis bientôt deux ans, cet homme, s’asseyait face au lac, et il restait là, sans bouger une heure entière. Et chaque jour, il pleurait.

Je l’avais d’abord observé de loin, par curiosité, sa tristesse me touchait, il semblait si perdu, si mal. Un jour, je descendis le voir, je voulais le réconforter, je ne supportais plus de le voir dans cet état. Avec le temps, je me sentis plus proche de cet hommes, lui imaginant une vie, un passé, je m’y attachais, je n’aurais pas du je le savais, mais quelque chose en lui m’attirait réellement.
Quand je l’eus rejoins, il ne fit pas attention à moi, n’osant pas le déranger, je restais là, assise prés de lui, au bord de l’eau. Il était encore plus beau de prés, brun, les cheveux en batailles, quelques mèches lui retombaient presque dans les yeux, il me faisait pensé à un rebelle, je ne voyais pas sont regard qui observait l’horizon, je ne distinguais que ses larmes qui me touchaient bien plus qu’elles n’auraient du. Les mains dans les poches, nonchalant, étrange contraste avec ses pleurs. Il était habillé un peu vieillot à mon gout, mais ça n’enlevait rien de sont charme.
Après une heure, il repartit sans même m’adresser un regard. Chaque jour je revins, espérant qu’enfin il me regarderait, mais se ne fut pas le cas. Que lui était-il arrivé pour qu’il souffre autant ?
Quelle était son histoire avec le Lac Léman ?
Après deux semaines, je décidais de ne plus attendre après lui, et lui adressais un bonjour timide.
-Bonsoir…Je m’appelle Lena
Il ne répondit pas.
-Je sais que je ne devrais pas mais cela fait quelques jour que je viens m’assoir prés de vous, et vous ne m’avez encore jamais adressé la parole, j’ai d’abord pensé que je vous gênais, ensuite que vous étiez aveugle ou bien timide, ou tout simplement malpolis, mais j’ai le sentiment maintenant que c’est autre chose.
Il ne répondit toujours pas, mais semblait écouter chaque mot avec attention.
Après quelques instants il se tourna enfin vers moi, et me sourit, c’était le plus beau sourire que j’avais jamais vu, mais aussi le plus triste.
- Pourquoi semblez-vous si triste ?
Aucune réponse, puis il partit.

Décidé à le faire parler, je revins chaque jour, c’était un dialogue à sens unique, mais je n’abandonnais pas, lui racontant ma journée, lui posant toujours plus de questions qui n’avait jamais de réponse. C’était devenu une habitude, je ne semblais pas le déranger, je continuais donc sans m’en lasser, sa seule présence me satisfaisait.
Je fis un tour sur internet, si cet homme venait à cet endroit précis c’est qu’un malheur devait être arrivé, après quelque recherche, je tombais sur un fait divers advenu plusieurs année auparavant, ça parlait d’un accident survenus sur le lac.
<<Un couple et leur filles, venue pêcher sur le lac, se retrouvèrent coincés au beau milieu du lac, les rames étaient tombé et ils ne purent les rattraper, ils avaient dérivé, le père avait sans doute décidé de partir à la nage chercher des secours, mais il n’arriva pas au bord, la distance était trop grande, il avait coulé, la mère et la fille attendirent plusieurs heures en plein soleil sans eau, inquiètes la mère avait laissé un mot pour sont mari dans le cas ou il reviendrait et pris sa fille sur son dos, elle partie à la nage, mais a peine avait-elle commencés a nager qu’elle du être prise d’une crampe, la mère et la fille se noyèrent a quelque mètre seulement de la petite embarcation. >>
Quand le corps du père fut retrouvé, les secours partirent vite a la recherche de la femme et l’enfant, ils retrouvèrent leur corps qui flottaient non loin de la barque. Et le mot qui disait ;

Nous avons longtemps attendu, comme tu n’arrive pas, je m’inquiète, si tu vois se mot, attend moi sur la rive, nous arrivons à la nage.

Sans doute s’agissait-il de sa propre famille, était-il leur fils ? Un cousin ? J’imprimais la photo mise dans l’article, en regardant de prés, on croirait que l’homme sur la plage et celui de la photo n’étaient qu’une seule et même personne, c’était impressionnant. J’optais pour le fils.
Aujourd’hui tout ceci allais changer, et quand je revins prés de lui, je décidais de lui en parler, cela lui ferais peu être du bien.
Comme à sont habitude, il s’approcha, me regardant sans me voir.
-Bonjour.
Après un instant d’hésitation, je lui mis sous les yeux la photo de la famille disparu dans ce lac,
-C’est votre famille n’est ce pas ?
D’abord il ne réagit pas, ne prenant pas la peine de regarder la photo, mais après quelque seconde il la fixa, ensuite sa réaction fut rapide, il fondit d’abord en larme, à genoux par terre, il se tenait la tête, il n’était réellement que douleur. Quand il fut un peu calmé, il se tourna vers moi et enfin m’adressa la parole.
-Pourquoi m’avez-vous montré cette photo ?
-Je ne me suis donc pas trompé, cette famille a un rapport avec vous ?
Il me regarda interdit, puis se ressaisissant sont regard s’adoucit.
-Depuis tout ce temps que vous passer prés de moi, vous ne saviez donc pas qui j’étais ?
-Bien sûr que non, vous ne vous êtes jamais présenté.
Il me regardait, puis fit face au lac.
-C’est ma famille qui est morte ici.
-Je sais, je suis désolé...vous êtes leur fils ?
Ignorant ma question il m’en posa une autre.
- Pourquoi venez-vous prés de moi chaque jour ?
Je ne m’attendais pas à cette question, je ne répondis pas tout de suite, il attendait ma réponse patient. Que lui dire ? Que sa tristesse m’avait touché ? Et qu’au fils du temps je m’attachais à lui sans même le connaître ?
- Je…J’ai pensé qu’un peu de compagnie vous ferez du bien.
-Est-ce tout ?
Je détournais le regard gêné, pourquoi insistait-il ?
-Je me suis sentis attiré par vous ! Avouais-je rapidement.
Il sourit, c’était la première fois qu’il souriait sans sembler triste. Je lui souris timidement, c’était étrange, il me semblait à la fois distant et proche de moi, comme si une partie de lui n’était pas là. L’heure était passé, il était encore assit prés de moi, allait-il partir ?
-Vous m'intriguez…Léna, que vous est-il arrivé ? Pourquoi êtes-vous là ?
Pourquoi me reposait-il la même question, je lui avais pourtant répondu. Je le regardais sans comprendre.
-Il ne m’est rien arrivé, et puis je vous ai déjà répondu dis-je, et vous, pourquoi passer vous toutes vos soirées ici ?
-Je ne peux pas vous répondre, tant que vous ne comprenez pas ce qui vous arrive. A demain.
Il me gratifia d’un sourire aimable et repartit, disparaissant dans le brouillard.
Je restais assise, j’observais plus attentivement le lac, une brume épaisse, le recouvrais, on se serait cru au dessus des nuages, seul au monde, c’était magnifique, les quelques rayon du soleil qui apparaissaient donnais une couleur rosé à ce par terre cotonneux, stupéfaite, je regardais mieux, le soleil ne se couchait pas, mais au contraire il se levait. Que c’était-il passé ? J’avais du m’endormir sans m’en rendre compte, j’entendais le clapotis de l’eau, contre la rive, j’étais bien, aucun bruit ne venait interrompre cet instant magique. Ce lac m’attirait irrésistiblement, j’eus soudain envie d’y faire un tour en barque, avoir l’impression d’émerger des nuages, les ondulations des vagues claquant contre la coque de la petite embarcation.
Je repensais à ce que l’homme m’avait dit la veille, que devais-je comprendre, après tout c’était lui qui chaque jours revenait encore et encore, lui qui souffrait de la mort de sa famille, moi je n’étais qu’une simple spectatrice, certes je commençais à m’impliquer un peu, alors que finalement ça ne me regardais en rien, mais comment j’aurais pu le laisser seul avec sa souffrance, je ne pouvais tout simplement pas.
L’homme revint, les cloches de la ville la plus proche Rolle, sonnait les huit heures du soir. Sur la gauche de l’immense Lac, se trouvait une île, on l’appelait l’île de la Harpe, elle n’était pas loin, juste une centaine de mètre du bord. Je me rappelais avoir fait le trajet de l’île à la rive du Lac à la nage, je ne me souvenais plus du temps qu’il m’avait fallu. Mais j’avais été heureuse de foulé des pieds ce bout de terre entourer d’eau.
Quand il fut à ma hauteur, il s’assit face au lac, sa souffrance avait réapparut, comme une épine enfoncer dans sont cœur, je savais que je ne pourrais la retirer, il fallait qu’elle se résorbe d’elle-même.
-Bonsoir.
L’heure passa dans un silence mystique, je continuais donc à observer ce lac riche en beauté, des cygnes d’une rare splendeur dansaient avec grâce sur l’eau lisse et douce, comme les anges sur un nuage. Je me rendis compte à cet instant que je n'avais pas quitter le lac depuis la veille, le temps m'avait pourtant parut si court.
- Pardonnez-moi, mais je ne peux vous répondre sans les avoir salué.
-Qui ca ?
-Ma femme et ma fille.
Stupéfaite, je le regardais sans comprendre.
-C’est impossible, ce ne peux pas être votre femme et votre fille m’exclamais-je.
-Hélas si, ce sont bien elle qui attendent que j’aille les cherchés, malheureusement je ne peux pas.
Seigneur, la douleur lui avait fait perdre la raison, il se prenait pour le mari qui c'était noyé. Inquiète je me redressais et reculais de quelque pas.
-Vous savez bien que non, elles sont mortes il a bien longtemps, et votre père également.
-Mon père ? Il me regardait surpris, puis il semblait comprendre ma méprise et se mit à rire.
-Je ne vois pas se qui est drôle dis-je bêtement.
-Vous n’avez donc toujours pas compris? venez avec moi. Il me tendit la main, j’hésitais mais il insista.
-Ou voulez vous aller?
-Vous verrez, tout sera plus clair pour vous ensuite.
Il avança vers le Lac, je compris alors qu’il voulait que je le suive dans l’eau.
-Non l’eau est trop froide en automne, on va tomber malade.
Il me regarda, ses yeux étaient noir, je le remarquais enfin.
-Vous ne risquez rien, suivez moi.
Je le suivis hésitante, il fit un pas dans l’eau puis deux et je m’arrêtais ébahie, au lieu de s'enfoncer dans l’eau il marchait au dessus.
-Venez insista-t-il.
-Mais ? Vous ! Vous marchez sur l’eau !
-Venez répéta-t-il.
Je le suivis, un pas après l’autre, je ne sentais pas l’eau, mais je n’osais pas regarder mes pied, m’accrochant à sa main comme à une bouée, je continuais d’avancé, le trajet dura plusieurs minutes.
-Nous y sommes.
-Quesque ca veut dire ? Et ou sommes-nous ?
-C’est ici qu’elles ont coulée, n’avez-vous toujours pas compris ?
Une penser me traversa l’esprit que je rejetais, ce n’étais pas possible, je le saurais si c’était le cas, mais comment expliquer que je me retrouvais à plusieurs centaines de mètre du bord et que je ne sois pas dans l’eau mais au dessus, je regardais mes pied et la peur de ce que je vis me fit m’accrocher à cet homme qui semblait maintenant plus serein.
-Je ne suis pas morte ! Criais-je.
Il me regarda, compréhensif.
-Tout d’abord, je m’appelle Nicolas, il y a de cela quarante ans, je suis venu sur se lac pour pêcher, il y avait beaucoup de vent ce jour là et les rame sont tombées, quand nous nous en sommes rendu compte, il était trop tard, nous ne savions même pas vers ou elles dérivaient. En peu de temps, nous nous sommes retrouvés quelque part par ici. Personne n’allait nous chercher, car nous n’avions signalé notre sortis a aucune de nos connaissance. Je décidais de partir à la nage pour prévenir les secours, si seulement j’étais resté auprès d’elle, se lamenta-il avant de reprendre, je n’ai pas eu de chance, une crampe m’a pris à peine à quelque mètre du bord, je n’ai pas réussis et j’ai coulé. C’est le dernier souvenir que j’ai de ma vie.
-Mais je vous vois, je vous sens dis-je lui montrant la main.
-Si vous étiez en vie, croyez vous que nous serions ici ?
-Je ressens des émotions, je sens l’air sur mon visage!
-Moi aussi, il m’a fallu du temps pour comprendre ce qu’il m’arrivait, j’avais même oublié les raisons de ma mort, je restais ici, sans savoir pourquoi, et le temps a passé. Mais un jour, un couple est venus sur la plage, j’avais beau leur parler, ils m’ignoraient, l’homme expliquait qu’un tragique accident avait eu lieu sur le lac, au fur et à mesure qu’il racontait, la mémoire me revint, et la souffrance s’abattît sur moi. J’appris que ma femme et ma fille s’étaient noyés en voulant rejoindre la rive.
-Alors je suis vraiment morte…
C’était ça la mort ? Je ressentais toute sorte d’émotions, je sentais l’air et le sable sous mes doigt, je mis ma main sur mon cœur, et attendis, rien, il ne battait pas, je me sentis désorienter, dérouter.
-J’en ai bien peur, vous ne vous souvenez pas de quelle manière c’est arriver ?
-Non, je dois réfléchir à tout ca.
J’allais faire demi-tour quand une question me vint.
-Mais pourquoi êtes-vous toujours là ? Votre famille n’est plus ici.
-Je l’ignore, je ne peux pas m’éloigner du lac, comme s’il refusait de me laissé partir.
-Vous semblez si triste, quand vous arrivez chaque soir.
-Je pleure ma famille perdu, je leur dit chaque jour qu’elle me manque.
-Elles ne semblent pas être ici.
-Elles sont partie depuis longtemps.
-Je n’ai pas le souvenir d’avoir quitté le bord du lac depuis bien longtemps. Je vais juste du chalet à la plage. Et comment expliquez vous que j’ai pu faire des recherches sur internet m’exclamais-je avec un peu d’espoir.
-Internet ? Je ne connais pas.
-A oui ça n’existait pas à votre époque.
-Si vous parler d’un objet, il est facile de touché les objets pour nous.
Ma lueur d’espoir tomba à l’eau, il me fallait me faire une raison.
-Depuis quand me voyez vous ? Me demanda soudain Nicolas.
-Ça doit faire environs deux ans, enfin je crois.
-Nous connaissons donc la date approximative de votre mort, et cela a du arrivé prés d’ici. Ça ne vous dit rien ?
Je réfléchis un long moment, quel était mon dernier souvenir en dehors du chalet et de la plage, un accident de voiture ? La maladie ? L’île !! Mon dernier souvenir était mon arrivés sur l’île de la Harpe, que m’était-il arrivés la bas ?
-Je crois que je suis morte sur l’île qui se trouve un peu plus loin.
-Allons-y.
Je le suivis sans un mot, tout s’expliquait maintenant, le temps qui passait sans que je m’en rende compte, le fait que je ne vois jamais personne, je ne travaillais jamais, ne mangeais jamais. J’aurais du m’en rendre compte.
Arriver sur l’île, je fis quelque pas, puis je me souvins.
-Je sais ce qu’il m’est arrivée, un serpent m’a mordu, j’étais seule, j’ai perdu connaissance et plus rien. J’eus un rire ironique. Je suis morte bêtement, tout ça parce que j’étais seule.
-Je suis mort bêtement aussi, j’ai voulu nager sur une trop grande distance et je l’ai payé de ma vie, et de celle de ma famille.
-Je pense savoir ce qui vous retiens ici.
-A oui ?
-C’est le remord, vous vous reprochez la mort de votre fille et de votre femme.
-C’est possible oui, mais si j’étais resté prés d’elle…
-ce n’est pas votre faute, vous avez eu une crampe, et puis votre femme a choisis de quitter le bateau, c’était son choix, pas le votre. Vous avez été retrouvé rapidement après votre noyade et ils ont recherché votre famille, si elles avait attendu une ou deux heure de plus, elles ne seraient pas mortes ce jours la. Vous avez fait votre travail, les secours sont venus.
Nicolas tomba à genoux, il semblait soulagé.
-Alors, ça n’aurait rien changé, elle se serait noyer même si j’avais prévenus les secours, mais si j’étais resté prés d’elle dit-il soudain triste.
-Si vous aviez fait cela, vous auriez pu attendre les secours longtemps et mourir déshydrater ou de faim. Ce n’est pas votre faute.
Il se releva, il semblait maintenant plus serein.
-Merci Léna. Je vais pouvoir partir maintenant. Et vous quel est la raison qui vous retiens ici ?
En y réfléchissant bien, je ne trouvais qu’une raison qui me retenait.
-Je pense que c’est vous. Votre souffrance m’a ému, je ne voulais pas vous laissez seul. Si vous avez trouvé la paix, je pense que je vais pouvoir partir moi aussi.
-Alors, allons y ensemble.
Il me prit la main, et nous partîmes ensemble sur le lac jusqu'à la lumière qui grandissait à chaque pas devant nous…
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Nelofer
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Nelofer


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MessageSujet: Re: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyLun 23 Nov - 16:42

C'est une belle histoire, j'ai noté quelques petites choses qui pourraient être améliorées mais la base est intéressante et touchante.

Je pense que tu pourrais faire en sorte qu'il y ait un peu plus de suspens et de surprises à la fin de ton histoire. J'ai deviné un peu trop facilement la fin à mon goût ^^.

Je pense aussi qu'il y a des répétitions dans ce texte. Tout d'abord des répétitions d'événements : Nicolas et sa femme se sont tout les deux noyés à cause d'une crampe, ça décrédibilise ton histoire je trouve. Il est facile d'accepter que deux personnes meurent noyées, mais c'est beaucoup plus compliqué de croire qu'elles sont mortes toutes les deux dans exactement les mêmes circonstances. Je pense que Nicolas aurait simplement pu se noyer à cause de la fatigue et de l'hypothermie que provoquerait une longue nage dans une eau froide.

Ensuite il y à des répétitions de formulations et de mots tout au long du texte et c'est vrai, quelques fautes d'orthographe, mais j'ai vu pire ^^.

J'ai aimé ce texte, généralement si je n'apprécie pas un texte je ne le lis pas jusque au bout et là je me suis laissée "embarquer" (hihi, c'est le cas de le dire) par cette émouvante histoire.
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Laélia

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MessageSujet: Re: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyLun 23 Nov - 20:37

merci, c'est vrai que je n'ai pas beaucoup travailler le texte, j'essaierais de l'amélioré et le rajouterais dès que je peux.
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atl

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MessageSujet: Re: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyMer 25 Nov - 21:44

Pas mal ton texte ! Même si comme ça a été dit avant il manque du suspense et on devine assez facilement la fin...

J'ai repérais qqs trucs :
Je trouve cette phrase assez maladroite : "-Je sais que je ne devrais pas mais cela fait quelques jour que je viens m’assoir prés de vous, et vous ne m’avez encore jamais adressé la parole, j’ai d’abord pensé que je vous gênais, ensuite que vous étiez aveugle ou bien timide, ou tout simplement malpolis, mais j’ai le sentiment maintenant que c’est autre chose."
Et l'article du journal n'a pas du tt un ton de journal justement... et je trouve peu plausible de rester dans une embarcation bloqué sur le lac aussi longtemps... ou j'ai loupé un truc, ou en ajoutant un brouillard ça devient beaucoup plus crédible... Tout comme l'histoire des morts trop similaire. De plus, on a vu des cas où l'homme est capable de se dépasser dans ces conditions... tu devrais insister là dessus. Et aussi, comment l'endroit où la mère et le fils on fait pour être aussi clairement identifié ? et la cause de la mort aussi...

Voila sur les "critiques". Mais je trouve ton texte bien fait dans l'ensemble !
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Nelofer
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MessageSujet: Re: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyJeu 26 Nov - 8:47

"-Je sais que je ne devrais pas mais cela fait quelques jour que je viens m’assoir prés de vous, et vous ne m’avez encore jamais adressé la parole, j’ai d’abord pensé que je vous gênais, ensuite que vous étiez aveugle ou bien timide, ou tout simplement malpolis, mais j’ai le sentiment maintenant que c’est autre chose."

J'avais relevé moi aussi cette phrase, principalement parce qu'elle est trop longue pour un dialogue. On ne se lance pas dans de longues explications de but en blanc avec un inconnu d'ordinaire.
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Laélia

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MessageSujet: Re: souffrances inutile   souffrances inutile EmptyJeu 26 Nov - 20:13

oui j'ai tiquer en l'écrivant, mais je ne m'y suis pas attarder malgré tout, pensant y revenir plus tard, chose que je n'ai pas faites préférant travailler sur mon livre. je vais d'ailleurs de ce pas mettre le prologue de mon livre vous me direz ce que vous en pensez pale (stress juste à l'idée que l'on aime pas!)
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